C’est l’histoire d’un employeur à qui on reproche un licenciement « verbal »…
Le 5 octobre, un employeur licencie un salariĂ© pour faute. Sauf que le salariĂ© apprend qu’il aurait pris la dĂ©cision de le licencier 4 jours avant la notification du licenciement. Pour lui, c’est donc un licenciement « verbal » qui justifie une indemnisation… Pour preuve, dans un Ă©change de mails datĂ©s du 1er octobre, entre […]
